Résumé :
Au vu de l’affirmation des TIC depuis les années 2010, se traduisant entre autres par la digitalisation de nos sociétés contemporaines qui imposent finalement à ses membres l’usage du numérique, et ce au travail ou encore à l’école. Je me suis premièrement interrogée quant à la faisabilité de la déconnexion volontaire au numérique. Autrement dit, est-ce possible de ne pas consulter et/ou de ne pas produire de contenus numériques dans un environnement saturé par l’information et la communication ? De fait, cette interrogation m’a suggéré de me questionner quant aux obstacles à la pratique de la déconnexion volontaire. Et au vu de l’hyperconnexion de nos sociétés actuelles qui finalement instaurent implicitement la connexion comme une norme et la déconnexion comme une pratique impopulaire. Cette dernière pratique ne s’emploie pas démocratiquement, montrant ainsi que celle-ci émane d’un petit pourcentage d’individualités étant ainsi moins conséquent que celui des connectés qui généralement méconnaissent le bien fondé de cette démarche.
Mots-clés :
Technologies de l’Information et de la Communication, Conscientisation, Sobriété numérique, Cybermilitantisme,
La violence et la cyberviolence envers les étudiantes à l’Université Centrale de l’Équateur
PUENTE Stefania
2022
CMW
Conflit au sein des fans de Star Wars depuis l’achat de Lucasfilm par The Walt Disney Studio
2019
CMW
Comment le numérique ouvrirait-il une voie vers la professionnalisation pour le dessinateur amateur ?
VONG Victor
2019
CMW